Le 5 mai 2020
Le réseau PÉRISCOPE (Plateforme Échange Recherche et Intervention sur la SCOlarité : Persévérance et réussitE) a fait de l’intensification de la participation des acteurs et, au premier chef, de l’élève/étudiant-e dans la classe, son axe central de recherche-intervention au bénéfice de la persévérance et de la réussite scolaires (PRS). La participation se déploie à quatre niveaux : 1) la participation de l’enfant dans son groupe ou de l'élève/étudiant-e dans la classe; 2) la participation de l’enseignant-e dans l’école ou autre établissement scolaire; 3) la participation de la famille et de la communauté avec l’école; et 4) la participation des acteurs à la prise de décision. Alors que le premier colloque du réseau PÉRISCOPE tenu au Congrès de l’ACFAS avait permis de faire le point sur les recherches poursuivies par ses membres, se sont enfilés par la suite trois colloques qui ont mis l’accent sur les modes de collaboration dans l’école, sur l’engagement de l’élève/étudiant-e dans la classe et sur les relations école-famille-communauté. Le présent colloque examine la participation des acteurs qui, naviguant aux frontières des zones connues et inconnues, se butent aux angles morts en périphérie des définitions de leurs objets de recherche, constatent les contraintes de leurs cadres conceptuels, de leurs méthodologies, et réalisent les limites de leurs instruments au bénéfice de la persévérance et de la réussite scolaires.
Thérèse Laferrière (Université Laval)
(Durée de la vidéo : 6 min.)
La perspective sociale sur l'apprentissage est évoquée, à savoir qu'apprendre c'est participer de manière de plus en plus compétente au sein d'une communauté d'appartenance ou de référence. La capacité d'agir, incluant celle de décider, en ressort.
Denis Savard (Université Laval)
(Durée de la vidéo : 5 min.)
Différentes perspectives théoriques convergent pour éclairer la dynamique de participation communautaire, entre autres, celle de l'actualisation de soi (besoin d'appartenance, pyramide de Maslow, 1943, 1970), celles de Vygotsky (1978) et des autres chercheur·e·s qui ont développé des perspectives socioculturelles (iscar; iscar2017) et les perspectives en évaluation institutionnelle qui considèrent l'appartenance comme critère (Amboulé Abath, Larouche et Savard, 2017).
Abdoulaye Anne (Université Laval)
(Durée de la vidéo : 6 min.)
En sciences sociales, la participation de l'enfant aux décisions familiales peut être comprise comme 1) le résultat d'une modification des pratiques des familles mues par des valeurs d'individualisme (Déchaux, 2009), 2) un principe directeur des droits de l’enfant et une pratique active de la citoyenneté (Bureau international des droits des enfants, 2018) ou, encore, 3) une appropriation participative des valeurs, normes et pratiques de sa communauté (Anderson- Levitt, 2006).
Jean Bernatchez (UQAR – Université du Québec à Rimouski)
(Durée de la vidéo : 6 min.)
La participation aux décisions est à la fois une aspiration individuelle et collective quand cette dernière est marquée par les valeurs de justice et de démocratie. L'éducation à la citoyenneté ne saurait en faire abstraction, qu'il s'agisse de faire participer l'élève aux décisions dans l'école (par ex., Vox Populi) ou d'inclure les professionnel·le·s de l'éducation dans les instances décisionnelles de niveau supérieur.
Thérèse Laferrière (Université Laval)
(Durée de la vidéo : 5 min.)
Le réseau PÉRISCOPE a fait de l'engagement de l’élève, lequel fait référence autant à l’individu qu’à son environnement social, un construit de première importance en matière de PRS. Défini comme de l'énergie en action (Ainley, 2012 ; Skinner & Pitzer, 2012) ou de l’effort scolaire (Pianta, Hamre & Allen, 2012), l’engagement est un processus dynamique, social et synergique (Lawson & Lawson, 2013). Il est associé à la réussite scolaire (IES, 2011; National Research Council & Institute of Medicine, 2004) : par exemple, les adolescent·e·s avec un faible niveau d'engagement sont plus susceptibles d’adopter des comportements à risque, d’abandonner l'école (Christenson, Reschly & Wylie, 2012; Lawson & Lawson, 2013). Toutefois, c’est un construit qui se redéfinit selon les contextes nous enseignent les perspectives socioculturelles sur la participation (Wang & Eccles, 2013).
Sandy Nadeau (UdeS – Université de Sherbrooke)
(Durée de la vidéo : 10 min.)
Dans la plupart des études, l’engagement est considéré à partir des dimensions mises de l’avant par Fredricks et al. (2004), soit l’engagement comportemental, cognitif et affectif. Toutefois, des variantes existent, notamment au Québec, et notre présentation en fait la synthèse.
Sylvie Barma (Université Laval)
(Durée de la vidéo : 6 min.)
Les approches socioculturelles dont l'origine remonte à Vygotsky mettent de l'avant la participation – voir notamment les travaux de Cole (1995), Lave et Wenger (1991) et Rogoff (1995). Le CRIRES et le réseau PÉRISCOPE ont co- organisé le congrès international de la Society for Cultural-historical Activity Research en 2017. Les concepts de participation et d'agentivité y ont occupé une place importante. Les "proceedings" et le numéro spécial (Barma & Zaretskii, 2017) le montrent bien.
Anne Lessard (UdeS – Université de Sherbrooke)
(Durée de la vidéo : 10 min.)
La Chaire de recherche de la Commission scolaire de la Région-de-Sherbrooke sur l'engagement, l'intégration et la réussite des élèves a pour premier axe l'étude des effets des pratiques pédagogiques sur l'engagement, l'intégration scolaire et sociale et l'apprentissage des élèves à risque. Cette présentation permettra de repérer les actions qui nous permettent de réduire certaines zones aveugles au bénéfice de l'engagement des élèves, de leur persévérance et de leur réussite scolaires.
(Durée de la vidéo : 10 min.)
Vincent Gagnon (UQAC – Université du Québec à Chicoutimi)
(Durée de la vidéo : 6 min.)
Dans le cadre de la présentation d'affiches sur le thème « Manifestations d'agentivité pour constater l'engagement », lequel fait suite au symposium interactif « S'engager dans ses apprentissages, c'est prendre des décisions », cette affiche examine le processus de révision de textes produits par des élèves du primaire, un processus étudié dans le cadre d'une recherche doctorale dans une école ÉER, membre de l'École en réseau, partenaire PÉRISCOPE.
Séverine Parent (UQAR – Université du Québec à Rimouski), Enseignantes CSRDN (Commission scolaire de la Rivière-du-Nord)
(Durée de la vidéo : 6 min.)
Dans le cadre de la présentation d'affiches sur le thème « Manifestations d'agentivité pour constater l'engagement », lequel fait suite au symposium interactif « S'engager dans ses apprentissages, c'est prendre des décisions », cette affiche présente le processus de coélaboration d'une grille d'analyse des manifestations de l'engagement des élèves en salle de classe. L'aptitude à l'engagement fait partie du nouveau profil de sortie des élèves de la Commission scolaire/Centre de services de la Rivière-du-Nord (CSRDN) et l'engagement au bénéfice de la PRS est l'un des chantiers du réseau PÉRISCOPE.
Audrey Raynault (Université Laval), Gentil Pich (Bibliothèque Père-Ambroise)
(Durée de la vidéo : 8 min.)
Dans le cadre de la présentation d'affiches sur le thème « Manifestations d'agentivité pour constater l'engagement », lequel fait suite au symposium interactif « S'engager dans ses apprentissages, c'est prendre des décisions », cette affiche illustre comment des jeunes représentent, par différentes créations, leur persévérance et leur réussite scolaires. Cette activité s'inscrit dans le cadre de l'exposition que prépare le réseau PÉRISCOPE et qui permettra au public de mieux comprendre comment les jeunes voient leur propre persévérance et réussite scolaires.
Michelle Deschênes (Université Laval)
(Durée de la vidéo : 5 min.)
Dans le cadre de la présentation d'affiches sur le thème « Manifestations d'agentivité pour constater l'engagement », lequel fait suite au symposium interactif « S'engager dans ses apprentissages, c'est prendre des décisions », cette affiche illustre, partant d'une étude doctorale, la prise de décisions d'enseignant·e·s du collégial concernant leur propre développement professionnel assisté par une plateforme d'aide à la décision.
Alain Breuleux (Université McGill)
(Durée de la vidéo : 7 min.)
L'agentivité relationnelle fait référence à la participation de la personne tout en la situant dans un contexte, sa dynamique de participation, incluant son historicité culturelle et les interactions socioculturelles qui en émergent. Qu'il s'agisse d'une « classe, communauté d'apprentissage », d'une communauté d'apprentissage professionnelle, d'une communauté de pratique ou d'une communauté d'élaboration de connaissances, soit des formats d'interaction de nature collaborative, l'agentivité relationnelle en appelle aux contributions du (de la) participant·e à l'activité de sa communauté. Les partenariats recherche-pratique du réseau PÉRISCOPE n'y échappent pas.
Stéphane Allaire (UQAC – Université du Québec à Chicoutimi)
(Durée de la vidéo : 7 min.)
Un partenariat recherche-pratique se définit comme un engagement à long terme entre des chercheur·e·s et des praticien·e·s du milieu scolaire qui se sont dotés d’une structure associative pour investiguer des problèmes de la pratique et identifier des solutions permettant de soutenir le milieu scolaire dans l’atteinte de sa mission (Coburn, Penuel & Geil, 2013). Le partenariat autofinancé depuis une vingtaine d’années dans la région du Saguenay-Lac-St- Jean (le Consortium régional de recherche en éducation [CRRE], partenaire du réseau PÉRISCOPE) en est la manifestation.
Christelle Robert-Mazaye (UQO – Université du Québec en Outaouais)
(Durée de la vidéo : 10 min.)
Selon Edwards (2007), « le concept vise à saisir la capacité d'aligner ses pensées et ses actions sur celles des autres pour interpréter certains aspects de son monde et pour agir et répondre à ces interprétations » (p. 4). C'est ce à quoi s'est d'abord adonné le comité de planification d'un projet axé sur la documentation d'un profil de sortie de jeunes du secondaire axé sur le développement du plein potentiel des jeunes sur la base de leurs aptitudes. À ce PRP en émergence, se sont ajoutés des enseignant·e·s et des chercheur·e·s. La codéfinition de manifestations observables des aptitudes du profil est l'action qui teste la capacité des participant·e·s à travailler avec d'autres personnes pour élargir la compréhension de ces aptitudes et de leur niveau d'atteinte.
Sébastien Tardif (CSRDN – Commission scolaire de la Rivière-du-Nord)
(Durée de la vidéo : 7 min.)
(Durée de la vidéo : 11 min.)
Josée Beaudoin (CS du fleuve et des lacs)
(Durée de la vidéo : 7 min.)
Suite aux présentations qui ont mis en évidence l'agentivité relationnelle, cette affiche met en évidence la nécessaire complémentarité des agent·e·s qui, dans l'exercice de leur capacité d'interagir les un·e·s avec les autres, font l'École en réseau. L'ÉER est membre du réseau PÉRISCOPE.
Caroline Marion (Université Laval)
(Durée de la vidéo : 8 min.)
Les enjeux du bien être à l’école sont multiples et le seront plus encore dans un contexte de déconfinement. Le bien être des jeunes participe à la qualité de leurs émotions, favorise leur apprentissage et prévient l’apparition de troubles anxieux. Dans le cadre de la première phase d’une recherche postdoctorale, nous avons exploré les effets d’une adaptation de l’Approche ECHO (approche documentée scientifiquement et enseignée à des adultes pour la réduction du stress et de malaises divers depuis plus de 30 ans) pour augmenter le bien être des jeunes et ainsi accroître leur engagement scolaire. Les résultats préliminaires dérivés de l’utilisation de l’approche par 60 élèves provenant de 3 groupes-classes de 6e année rendent compte d’une réduction du stress de 70% ainsi que d’une amélioration du bien-être de 72 %. Outre le stress et l’anxiété, les jeunes ont employé l’Approche ECHO adaptée pour réduire divers malaises en eux tels la fatigue et l’insomnie. Enfin, de manière inattendue, plusieurs parents ayant fait la demande d’être formés à l’approche pour leur bénéfice personnel et pour mieux seconder leur enfant, une collaboration plus large s’en est suivie avec l’école et les familles, aspects de nature à favoriser la pérennité de l’approche et sa portée sur le bien-être des jeunes.
Linda St-Pierre (CTREQ - Centre de transfert pour la réussite éducative du Québec)
(Durée de la vidéo : 8 min.)
Suite aux présentations qui ont mis en évidence l'agentivité relationnelle, cette affiche examine comment le CTREQ, partenaire du réseau PÉRISCOPE, crée des systèmes suffisamment ouverts pour que des formes fluides de collaboration au bénéfice de la réussite éducative puissent être mises en œuvre.
Sylvie Barma (Université Laval)
(Durée de la vidéo : 9 min.)
Un collectif éducatif exerce son agentivité à des fins, notamment, d'amélioration des conditions d'apprentissage nécessaires au développement. L'activité innovatrice devient un système d’où émergent des dilemmes, des double- contraintes et des tensions. Ancré dans les travaux d'Engeström (1987/ 2015),Virkkunen et Newnham suggèrent la mise sur pied de laboratoires du changement pour les identifier et les résoudre. Plus récemment, Engeström (2017) et Stetsenko (2019) renforcent la dimension politique du concept d'agentivité transformatrice. Pour Stetsenko, l'agentivité transformatrice radicale a un effet transformateur et doit viser à changer le monde tout comme les comportements des membres du collectif. Stetensko applique notamment ce concept aux actions qui, non seulement, étudient les iniquités sociales et scolaires et également les dénoncent (2019). Dans la foulée des travaux de Gutiérez et Calabrese Barton (2015), elle suggère de faire en sorte que les élèves marginalisés enrichissent leur compréhension des possibilités qui s’offrent à eux et en repoussent les limites.
Nadia Rousseau (UQTR – Université du Québec à Trois-Rivières), Thérèse Laferrière (Université Laval)
(Durée de la vidéo : 10 min.)
Dialogue entre une chercheur·e du réseau RÉVERBÈRE et une chercheur·e du réseau PÉRISCOPE quant à la transformation des pratiques de chercheur·e·s et de partenaires suite à des décisions partagées. Chacune d'elles partira d'un exemple et d'un contre-exemple afin d'illustrer le pouvoir transformateur ou limité de décisions partagées.
Gustavo Adolfo Angulo Mendoza (TÉLUQ – Université du Québec)
(Durée de la vidéo : 7 min.)
La Communauté de recherche et d’entraide en éducation est un organisme indépendant sans but lucratif qui regroupe les personnes impliquées dans la supervision des études graduées et dans les divers projets menés par les professeur·e·s Lucie Héon, Denis Savard et Serge Sévigny du département des Fondements et pratiques en éducation de l'Université Laval, soit les chercheur·e·s et les chercheur·e·s-étudiant·e·s aux 2e et 3e cycles, les auxiliaires, les professionnel·le·s de recherche, les diplômé·e·s, les invité·e·s de même que les partenaires du milieu. Cette communauté a été étudiée dans sa dynamique évolutive. Le concept d'agentivité transformatrice apporte-t-il un éclairage supplémentaire ? Des traces d'agentivité transformatrice sont-elles repérables sur son parcours, notamment dans l'interaction de cette communauté avec les responsables des programmes de formation ?
Sylvain Bourdon (UdeS – Université de Sherbrooke)
(Durée de la vidéo : 8 min.)
La chaire-réseau Jeunesse, récemment financée par le FRQSC, a un pôle Éducation, citoyenneté et culture qui inclut un chantier sur les Jeunes aux besoins particuliers et en situation particulière. Ce chantier se penche sur les parcours de formation, les contraintes et obstacles à la persévérance et à la réussite, les sources d’inégalités et les modalités permettant de les surmonter. Le concept d'agentivité transformatrice s'applique-t-il pour le repérage d'angles morts ?
(Durée de la vidéo : 5 min.)
Élodie Marion (UdeM – Université de Montréal)
(Durée de la vidéo : 7 min.)
En amont d'une participation proactive et équilibrée au sein des espaces décisionnels à l'école nombre d'influences peuvent être détectées. En ce qui concerne l'étude de la participation des parents en situation de vulnérabilité, cette affiche repère les zones aveugles à combler.
Abdoulaye Anne (Université Laval), Patrice Cyrille Ahehehinnou (Université Laval)
(Durée de la vidéo : 6 min.)
Les perspectives théoriques selon lesquelles les relations école-famille, qui participent de la PRS, créent-elles ou comblent-elles les angles morts qui s'y retrouvent ? Cette affiche tentera d'y répondre.
Fanny Gérin-Lajoie (Fusion Jeunesse)
(Durée de la vidéo : 6 min.)
Fusion Jeunesse repousse les frontières du possible quand il s'agit de faire collaborer des étudiant·e·s universitaires à la persévérance et à la réussite scolaires de jeunes d'écoles secondaires... Nous en ferons part.
Rollande Deslandes (UQTR – Université du Québec à Trois-Rivières), Thérèse Laferrière (Université Laval)
(Durée de la vidéo : 10 min.)
Le National Network of Partnership Schools créé par J. L. Epstein à l'Université John Hopkins et le réseau PÉRISCOPE poursuivent des activités qui présentent des similarités. Les objets, voire les rationnels, des décisions prises dans l'un et l'autre réseau seront mis en évidence.
Jean Bernatchez (UQAR – Université du Québec à Rimouski)
(Durée de la vidéo : 8 min.)
La notion de praxis invite tout acteur·e à appliquer ses connaissances à sa pratique. Ainsi, l'enseignant·e qui développe des règles et des politiques de classe afin d'en assurer la gestion se sert de ses connaissances tacites et explicites. De même, les politiques que formulent les administrateur·rice·s de l'éducation sont l'expression de leurs propres connaissances tout comme l'expression d'un effort consensuel. Plus encore, ces politiques reflètent-elles une idéologie d'adaptation passive et de respect du statut quo ou, encore, pour reprendre la notion de Stetsenko (2019), une agentivité transformatrice radicale. Nul doute qu'une option ou l'autre recèle sa part de zones aveugles.
Catherine Larouche (UQAC – Université du Québec à Chicoutimi)
(Durée de la vidéo : 10 min.)
Le réseau PÉRISCOPE, qui se penche sur la participation aux décisions à des fins de PRS, inclut, à son niveau « le plus haut ou distant » de l'activité quotidienne des acteur·e·s, la participation aux instances décisionnelles. Que nous réserve le projet de Loi 40 en cette matière ? Des zones aveugles demeurent-elles, par exemple, dans le cas de la participation des parents ? Si oui, lesquelles ?
Denis Savard (Université Laval)
(Durée de la vidéo : 10 min.)
La participation des différents acteur·e·s (stakeholders) aux décisions dans les instances décisionnelles d'une organisation du monde de l'éducation est une praxis en développement vu l'aplanissement des hiérarchies dans l'organisation moderne et malgré le retour à des formes autocratiques de gouvernance étatique observé dans certains pays. S'agissant des institutions éducatives dont la mission inclut la réussite des élèves, l'a-propos d'inclure la participation aux décisions comme critère d'évaluation institutionnelle est examiné.
Brigitte Bilodeau (FSE-CSQ)
(Durée de la vidéo : 7 min.)
Le réseau PÉRISCOPE, qui se penche sur la participation aux décisions à des fins de PRS, inclut, à son niveau « le plus haut ou distant » de l'activité quotidienne des acteur·e·s, la participation aux instances décisionnelles. La participation des enseignant·e·s à ces instances est un enjeu dont il faut négocier le sens et l'exercice constamment.
(Durée de la vidéo : 10 min.)
Marie-France Boulay (Université Laval)
(Durée de la vidéo : 6 min.)
Suite au symposium interactif « Les politiques institutionnelles, l'agentivité et la praxis des acteur·e·s », cette affiche repère les façons de soutenir l'agentivité des enseignant·e·s à l’égard de leur développement professionnel en s’intéressant notamment aux mesures de soutien et aux freins découlant des politiques de développement professionnel.
Christian Payeur (Université Laval)
(Durée de la vidéo : 7 min.)
Suite au symposium interactif « Les politiques institutionnelles, l'agentivité et la praxis des acteur·e·s », cette affiche pointe les voies empruntées par la CSQ et la Faculté des Sciences de l’éducation pour favoriser, à travers le CRIRES notamment, la réduction de la distance entre savoirs savants et savoirs d'expérience. Entre autres, la voie de la recherche collaborative est empruntée ici et ailleurs. Plusieurs facteurs sont identifiés pour avancer en ce sens.
Rénald Beauchesne (UQ – Université du Québec)
(Durée de la vidéo : 6 min.)
Suite au symposium interactif « Les politiques institutionnelles, l'agentivité et la praxis des acteur·e·s », cette affiche repère les structures et les rôles susceptibles de laisser des zones aveugles au regard de l'exercice de l'agentivité et de la praxis des parents.
Il est à noter que la vidéo de cette dernière activité n'est pas diffusée.